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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Le temps des moissons
21/09/2005 15:27
Le temps des moissons
L'un avait tracé les sillons, L'autre avait semé orge et blés, Et, pour sa part, Dame Nature, A chaque plant, donnant d'emblée Solides tiges, feuilles et verdure, Avait prévu forte épiaison. Déjà, on rêvait de moissons. C'est ainsi que passent les saisons. Et, comme l'onde, sans souci, Se baladent les blonds épis.
Et, quand vient le temps des moissons, Je rêve à ces tableaux célèbres Où, besognaient à l'unisson, Père et mère, garcons et filles, Maniant râteau et faucille Ou dressant de fort jolies gerbes. C'est aujourd'hui moins romantique De voir moissonneur moissonner... Pourquoi devoir s'en étonner ? Toute moisson est magnifique.
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Séduction
21/09/2005 15:24
En fantastique fleur, magnifique à foison, Tu tiens à me séduire, abeille tournoyante. Comment résister ? Ta teinte chatoyante Et tes nobles parfums me font perdre raison.
Tu diffuses dans l'air ta senteur de saison Sans proposer jamais d'attitude bruyante. Afin de me ravir, tu deviens attrayante En restant naturelle. Unique est ta toison !
J'avance à pas de loup et doucement surveille. Dément, je m'abandonne. Ô Dieu... Quelle merveille ! C'est le premier contact, me sera-t-il fatal ?
Sa grâce me tourmente et savoir me dévore, Je m'avance tout près du divin végétal Et j'aperçois soudain la belle canivore !
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Nos forêts
21/09/2005 15:16
Nos forêts
J'aime parler de nos forêts. Elles sont un peu de mon pays... Et d'elles, il y a tant de choses A dire, qu'il faudrait longues proses, Traitant de paix, de chants, de vie, De ses beautés, de ses secrets.
Des forêts, on vante le calme, La fraîcheur et les doux parfums ; Et les oiseaux sous la ramure Veillent sur leur progéniture, Déjouant tout oeil importun, Lui apportant ce qu'elle réclame.
Aux jours d'estivales chaleurs, Géants feuillus et conifères Donnent de l'ombre, à satiété ; Ce n'est que simple velléité. Oiseaux et petits mammifères Y trouvent eux-mêmes grande douceur.
Des ruisseaux qui y vagabondent, Elles savent garder les secrets : D'où vient leur eau fraîche et si pure ? Que signifient leurs doux murmures ? Sont-ils heureux en ces forêts, Pour moi, les plus belles à la ronde !
J'aime parler de nos forêts, De celles que j'ai le mieux connues : De Vaudray, de la Magusi, De Ligneris ou Signai... Seraient-elles trop tôt disparues ? Qu'elles étaient belles, ces forêts !
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Les mains
21/09/2005 15:12
Les mains
Les mains, les mains des tout petits enfants, Perles d'amour, adorables, jolies fleurs, Caresses sur la vie, toujours en avant Nous donnant des éclats de bonheur.
Les mains, les mains du pianiste, habiles, Endolories par l'instrument qui abuse, Mais divines perles, nous faisant voir la vie En chansons et sonates, douces muses.
Les mains, les mains de tous les amoureux, Les tiennes quand elles me reviennent Les miennes te serrant - nous heureux -, Les nôtres, essuyant les larmes, les peines.
Les mains, les mains de nos chers vieux, Tachées et ridées de tant de labeurs, Qui ont tracé pour nous d'autres cieux, Des sentiers d'étoiles où courent les bonheurs.
Les mains, les mains de toutes les femmes, Qui caressent et consolent tous les pleurs, Doux pétales de rose effaçant les drames Et mettant au monde les grands bonheurs.
Les mains, les mains de tous les écrivains, Celles des poètes de l'âme et de l'amour Qui "parlent" en traçant les lendemains Les plus belles appartiennent à -toujours -.

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